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Peinture aborigène Warli, à la source de l’Inde éternelle

 ‘J'aime voyager en Inde, depuis des décennies’ confie Christian Guillais. ‘En 1991, ma femme et moi étions à Mumbai où nous avons vu des femmes broder des nappes avec de jolis bonhommes dansants. Le corps des personnages de ces broderies était fait de deux triangles rattachés par leur pointe; les brodeuses, des femmes tribales, migrantes, venant de villages à 150 km au nord de Mumbai.

 

Nous avons décidé d'aller voir leurs villages avec trois d'entre elles. C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés en pays Warli, pour la première fois.

 

La campagne était magnifique, verdoyante; c'était la mousson. Les hommes labouraient les rizières avec des charrues tirées par des bœufs.

 

Les femmes portaient des jeunes plants de riz dans d'immenses paniers. Des vieux, sous d'étranges protections faites de branchages regardaient le travail en fumant. Mais surtout on m'a montré des peintures  qui racontaient toute cette vie et bien plus encore.

 

Nous avons raccompagné les trois femmes couturières à Mumbai. Nous nous sommes regardés, ma femme et moi, et avons dit ensemble : "on y retourne !" et avons repris le train en sens inverse.

 

Tant de choses à découvrir dans cette culture où tous peuvent être artistes tout en restant paysans. C'était il y a  22 ans. Depuis, chaque année nous sommes retournés chez les Warli, liant des amitiés avec de nombreux peintres. Nous avons encore à apprendre, mais il est temps de partager cette découverte avec le public occidental’.

 

Christian Guillais

+33 (0)6 75 94 89 91

www.peinturewarli.com

 

 

 

 

 

 

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